Article du Dauphiné Libéré du samedi 27 janvier 2018
De mars 2015 à juin 2018 j’ai eu le plaisir d’exercer en tant qu’éducatrice et comportementaliste pour la ville d’Échirolles (38130).
De mars 2015 à juin 2018 j’ai eu le plaisir d’exercer en tant qu’éducatrice et comportementaliste pour la ville d’Échirolles (38130).
Pour la plupart des prestations, Canima accepte 2 modes de règlement :
Entreprise Flum Corporation
Canima exerce sur Betton-Bettonet en Savoie (73). L’éducatrice est véhiculée, la prestation peut donc se dérouler à votre domicile ou en extérieur dans un lieu déterminé préalablement. Découvrez ci-dessous les tarifs des frais de déplacement pour les prestations payantes :
Le PECCRAM (Programme d’Éducation à la Connaissance du Chien et au Risque d’Accident par Morsure) est développé par la société FIMAC Canin.
L’auteur, Chantal HAZARD, retraitée de l’Éducation Nationale, comportementaliste diplômée et intervenante en médiation animale, diplômée de l’Institut Français de Zoothérapie, a mis à profit ses 40 années d’expérience au service de l’école et du chien.
Les formations PECCRAM assurées par Chantal Hazard permettent d’acquérir les connaissances pédagogiques nécessaires pour animer des sessions d’éducation des enfants de 4 à 10 ans.
Ce programme a reçu le premier prix « Animal de compagnie dans la ville » décerné par la FACCO (chambre syndicale des fabricants d’aliments préparés pour animaux familiers : chiens, chats, oiseaux, poissons, rongeurs).
Les conclusions des congrès scientifiques (ISAZ Vienne 2014 et CSF Lincoln 2014) expliquent que sans éducation spécifique au langage canin 50 % à 65 % des enfants de 3 à 5 ans ne savent pas distinguer un chien stressé d’un chien heureux. Le défaut d’éducation au langage canin chez le jeune enfant constitue bien un facteur de risque dans la relation enfant / chien… Ce qui entraîne des morsures qui auraient pu être évitées. Avec une éducation appropriée au langage canin ce pourcentage de tombe à 17 % !
On en parle : découvrez les interviews et reportages
Julie Claeyssen – contact@canima.net
Vous trouverez ici la plupart de mes formations et expériences en lien avec le monde animalier. Ce domaine étant en perpétuel évolution, il est pour moi important de continuer à se former régulièrement !
J’ai fondé en janvier 2023 l’association The Dog’Day qui a pour but de promouvoir le sport, les loisirs et le bien-être canin à travers un évènement annuel.
Je dispose de l’habilitation de formateur pour les propriétaires ou détenteurs de chiens de 1ère et 2ème catégorie sur la Savoie (73) et l’Isère (38). Je dispense donc la formation de 7h en vue de l’obtention du permis de détention.
Le certificat de Praticien animalier en EMDR m’a permis de me spécialiser dans le traitement du stress et des troubles émotionnels chez les mammifères.
De mars 2015 à juin 2018 j’ai eu le plaisir d’exercer en tant qu’éducatrice et comportementaliste pour la ville d’Échirolles (38130).
J’ai publié deux livres que vous pourrez retrouver sur cette page :
Et depuis octobre 2020, je suis rédactrice permanente pour le magazine Animaux Bonheur.
Depuis 2015, je suis certifiée en tant que Praticien Animalier en EMDR, par l’organisme Emanasso.
L’EMDR est un acronyme anglais qui signifie Eye Movement Desensitization and Reprocessing.
Cette approche permet de traiter le stress et les troubles émotionnels chez les mammifères. Ce traitement des informations agit sur le cerveau émotionnel, permettant aux informations gelées dans le système émotionnel, d’être retraitées de façon adaptative, fonctionnelle et positive.
Avec le protocole EMDR spécifiquement adapté aux mammifères (chiens, chats, chevaux, lapins, etc…), nous obtenons l’extinction de la peur et de ses conséquences : agressivité, irritabilité, hypersensibilité, inhibition, phobies…
Cette thérapie est reconnue par plusieurs organismes actuellement :
Le modèle animal de l’EMDR est validé scientifiquement par les chercheurs de l’INSERM de Bordeaux.
Article retranscrit
Iago regarde sa maîtresse avec attention, car dans un instant, Delphine va lui donner l’ordre de franchir le petit obstacle et de s’asseoir à ses pieds. À quelques mètres, Julie Claeyssen les observe : « Attention, dans ce que tu lui demandes il y a deux ordres, s’asseoir et ne pas bouger, il faut tout décomposer. » La jeune fille de 24 ans leur donne un cours d’obéissance dans le cadre de son association, Canima. Elle l’a créée en 2010, d’abord pour organiser des promenades collectives. Mais depuis août dernier, Canima propose aussi des cours d’éducation canine. « Mon but est d’aider les maîtres à élever leur animal, mais aussi de diffuser l’éducation positive », précise Julie.
Elle s’est passionnée pour cette méthode à l’adolescence. La jeune fille, qui a dû abandonner l’équitation, voulait retrouver un lien avec l’animal. Elle convainc alors ses parents d’adopter Loup, un chien type chihuahua, et commence à l’éduquer : « Je suis allée en club canin, mais je ne m’y retrouvais pas dans la relation avec mon chien ; pour que le chien obéisse, on le contraint avec des punitions, des colliers étrangleurs, des coups… »
Récompenser plutôt que punir
Julie s’intéresse alors à l’éducation positive à travers des ouvrages, puis des formations. « Cette méthode consiste à récompenser le bon comportement plutôt que de punir le mauvais, elle améliore la relation chien et maître », assure-t-elle. Dans ses cours, Julie proscrit donc la punition : « Elle n’est généralement pas comprise par l’animal et ne fait qu’altérer sa confiance envers son maître. » Elle applique ce principe à tous les types de cours qu’elle assure, que ce soit l’obéissance, l’éducation classique ou l’agility : « Les chiens n’ont plus peur d’être punis en cas de faute, ils se font confiance, prennent des initiatives, on a des chiens motivés ! »
Elle propose aussi de corriger les problèmes de comportement, comme un chien qui aboie intempestivement, qui saute sur des ombres ou qui a peur des inconnus. « Pour la plupart, il s’agit d’un toc, le chien n’a pas assez d’occupations ou ne voit pas assez de congénères, il ne faut pas oublier qu’il est un animal social », remarque-t-elle. Elle va alors travailler avec ses maîtres sur son environnement et ses habitudes. « Cela dépend aussi de l’investissement des maîtres, les cours ne sont pas une baguette magique », rappelle Julie. Delphine et Iago, eux, vont prendre cinq minutes, mais plusieurs fois dans la journée, pour répéter leurs exercices.
L’association Canima compte 600 usagers. L’heure de cours coûte environ 35 euros. Le tarif, déterminé selon le quotient familial, est dégressif en fonction du nombre d’heures. Informations sur https://canima.net
Publié le 13/02/2015
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Dog Trotteur, le flair des bonnes adresses !
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Le site Canima est référencé sur les annuaires spécialisés suivants :
Pourquoi Canima impose la longe et la muselière (et préconise fortement le harnais) pour les chiens à fort caractère / peu sociables / etc. ? Je me permet d’exposer ce point car cela est parfois mal perçu ou pas bien compris par certaines personnes.
Tout d’abord il faut savoir que la longe et le harnais sont beaucoup moins stressants pour le chien puisqu’il ressent moins de « tensions » et a une plus grande liberté d’action (possibilité de fuite / évitement s’il en ressent le besoin). Et si votre chien tire, sachez qu’il existe un harnais très bien fait, doté du easy walk (n’hésitez pas à contacter Canima pour des informations complémentaires concernant cet article).
La muselière sert quant à elle à éviter tout risque de morsure. Je vous invite fortement à privilégier celles qui sont grillagées en métal (type Julius K9) / plastique (type Baskerville), qui sont beaucoup plus aérées et donc beaucoup plus agréables pour le chien. Je rappelle que le « halti » n’est en aucun cas considéré comme une muselière.
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Une muselière Julius K9 (à gauche) et une muselière Baskerville (à droite)
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Un article complémentaire sur les muselières et la chaleur : à lire !
Chez Canima, tous les chiens sont les bienvenus, mais il ne faut pas que ce soit au détriment des autres chiens qui n’ont pas de souci particulier et qui ont envie de s’amuser. C’est pour cette raison, et évidement pour la sécurité de tous, que ce point fait partie du règlement Canima. Evidemment, chaque maître est responsable de son / ses chien(s) et veille donc à ce qu’il(s) ne devienne(nt) envahissant avec le / les chien(s) moins à l’aise avec leurs congénères.
Vous avez tout à fait le droit de ne pas être d’accord avec cela, mais si vous ne respectez pas le règlement Canima, vous ne pourrez malheureusement pas participer aux sorties proposées. Si vous rencontrez des difficultés avec votre chien ou que vous avez des questions concernant ce post, n’hésitez pas à contacter Canima.
L’article L214-6 du Code Rural rend obligatoire pour l’exercice d’activités liées aux animaux d’espèces domestiques l’obtention d’un Certificat de Capacité.
Sont donc concernées par cette formation les activités de :
Le titulaire du certificat de capacité est tenu d’actualiser régulièrement, et au maximum tous les dix ans, ses connaissances relatives aux besoins biologiques, physiologiques et comportementaux du ou des espèces d’animaux pour laquelle ou lesquelles ce certificat lui a été délivré.